Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (115)

Je suis rentrée prématurément de mes vacances dans ma maison au bord de la mer et je suis en ce moment avec Illy responsable de la vente du pavillon mitoyenne à celui de Valérie.
Illy est jolie mais lesbienne possessive, Livia l’a appris à ses dépens car dès qu’elle a été chez elle, elle lui a parlé de relation exclusive entre elles alors que ma copine si elle refuse les hommes aime papillonner entre de nombreuses femmes dont je fais partie.
Nous entamons le tour de la propriété avant de signer le compromis pour voir s’il faut noter des réserves avant signatures chez le notaire.

• Je vois qu’un mur est tombé, il va falloir que je repasse à l’agence avant que nous puissions signer pour le signaler sur le protocole.

Je garde mon calme attendant la fin de son inspection pour lui dire ma manière bien à moi de ce qu’elle va faire pour la signature.
Le mur abattu par nos hommes quand je leur ai annoncé que j’achetais la maison voisine n’a aucune importance pour signer le compromis aussi dès la visite terminée alors que nous sommes dans la salle où seule une cheminée en marbre est présente je plaque Illy contre le mur avant qu’elle ait le temps de protester.

• Illy tu es belle mais arrêtes de nous emmerder.
Le mur ce sont nos copains qui hier l’ont cassé pour relier nos deux maisons comme nous nous fusionnons entre nous, alors fait comme nous, vie ta vie, sautent toutes les filles que tu dois rencontrer dans ton métier et qui ont les mêmes envies, mais je t’en supplie, arrête de toujours en vouloir plus.

La femme que je tiens le long de ce mur semble estomaquée de la situation ou elle se trouve et de la façon dont je la traite surtout quand je passe ma main sous sa jupe et que j’arrache son string.

• Regarde ma belle, je vais te doigter la chatte jusqu’à ce que tu jouisses mais pour autant nous serons deux putes qui s’envoient en l’air sans pour autant aller voir monsieur le maire pour qu’il nous unisse pour la vie car ce soir je vais rencontrer quelqu’un qui me propose 5 000 € pour me baiser ce qui me permet de te donner ta putain de commission pour la putain de vente que tu réalises aujourd’hui.



Finissant ces mots je lui prends la bouche goulûment sans qu’elle ait le temps de reprendre l’initiative.
Elle a du mal à respirer sous ma langue et sous la stupeur que je sens en elle suite à ma soudaine attaque.
C’est une chatte sèche dans laquelle j’introduis deux doigts mais dès que je touche son clito sa grotte s’humidifie et des râles de plaisir me montre qu’elle est à ma merci.
Elle fléchit sur ses genoux et je peux facilement l’attirer sur le sol froid car la maison est fermée depuis plusieurs années.

• Christine, j’ai compris, je ferais attention d’éviter d’être possessive, mais alors tu es une pute.
• Non, une courtisane, une salope qui s’éclate en baisant avec mes clients et cerise sur le gâteau en touchant du pognon que je place aujourd’hui dans les pierres de cette maison.
Ta commission sur cette vente sera-t-elle suffisante pour te nourrir tous le mois ?
• Non, il faut que je fasse trois ventes pour m’en sortir surtout qu’ici, le propriétaire ait dû baisser le prix drastiquement vu les travaux qu’il va falloir entreprendre pour pouvoir vendre et encore si je comprends c’est la mitoyenneté qui te fait acheter.
• Oui, et bien moi, le client de ce soir même si je dois m’allonger les cuisses écartées pour le satisfaire va me payer presque la totalité de ta paye en un soir ce qui va me permettre de gonfler mon capital bancaire et je suis gagnante en prenant du plaisir.
• Et vous avez des femmes qui font appel à vous ?
• Bien sûr et même des couples ou l’homme est passif aimant voir sa femme se faire gougnotter.

C’est le moment où Madeleine me cherchant nous retrouve dans cette position qui pourrait paraître bizarre à tout autre qu’elle et me tend le téléphone de l’organisation.

• Tu l’as laissé près de la piscine je l’ai entendu sonner quand je débarrassais la table du petit déjeuner, tu dois rappeler l’organisation de toute urgence.

Je m’assieds le long du mur les jambes écartées montrant à Illy que le maillot avec lequel j’ai couvert ma chatte à pénétrer mon intimité dans nos ébats.


• Allô, oui une fille pour ce soir pour rencontrer une femme chez elle place de la Nation.
Attendez.
Madeleine tu es partante pour une cliente Place de la Nation à 22 heures pour la nuit.
• Bien sûr, tu sais que je cherche à me payer ma librairie vers le boulevard Saint-Michel ou Saint Germain.
• C’est une cliente, je peux aller avec Madeleine, je te promets que j’ai compris la leçon.
• Allô, elles seront deux filles pouvez-vous demander à la cliente si elle accepte de payer double, oui j’attends.

Le temps que le modérateur rappelle me semble court mais long pour Illy.

• C’est d’accord, la cliente ignorait qu’elle pouvait faire venir deux filles en même temps, 1 500 pour chacune plus le fixe pour les frais.

Je bouche le combiné.

• 1 500 plus le fixe qui est de combien ?
• Suivant la distance pour ce soir 1 000 € chacune, 2 500 la nuit.
• 2 500 € pour m’éclater à faire jouir une cliente Madeleine tu acceptes de m’emmener.
• Pourquoi refuserais-je, puisque j’ai la même somme dans mon escarcelle ?

Illy me tend le compromis que je signe sans regarder.

• Madeleine emmène Illy chez elle après t’être mis en tenue pour ce soir et va avec elle voir dans sa garde-robe quelle tenue va plaire à ta cliente.
Une dernière chose Illy la cliente a peut-être 80 ans et commence à être toute fripée, tu seras capable d’assurer, je sais que Madeleine vu son envie d’avoir sa boutique et ce qu’elle a vécu sera à la hauteur, une dernière chose, interdit de boire une goutte d’alcool,
Illy les filles donnent un autre prénom pour les clients, je te présente Diana et pour toi il est dommage de changer le tient, je te propose Iliade.
• C’est joli, Diana, je te présente Iliade.
• Pour les capotes que nous obligeons obligatoirement à nos clients mâles, le sujet est obsolète sauf dans le futur si pour gagner plus tu acceptes comme nous d’être bi comme tu le dis.

• Madeleine pour ta boutique j’ai une copine qui travaille dans une agence immobilière dans le quartier où tu cherches, nous allons aller nous changer après être passé à mon agence déposer le compromis de Christine pour que mon patron joigne rapidement le notaire qui doit établir l’acte de vente.

Je me lève remarquant que toute cette conversation avait eu lieu Illy toujours couchée au sol et la jupe relevée sa chatte épilée offerte à qui voudrait la prendre.

• Madeleine je m’occupe du taxi soyer là à 21 heures prête à partir.

Illy me saute au cou ce qui me fait rire, une fois de plus j’ai réussi à enrôler une femme B.C.B.G. comme moi qui dès ce soir deviendra une pute de plus dans l’organisation de Valérie.
En attendant je vais me préparer car ce soir je dois honorer ce contrat à 5 000 plus le fixe qui m’intrigue un peu.

Le temps est cour quand il faut que je me prépare, le choix de la tenue est important suivant le type de client, le peu de renseignements sauf les 5 000 € me font opter pour un tailleur très mode et très frais avec des bas tenus par un porte-jarretelle bien sûr sans culotte.
J’ai pour la première fois depuis mes débuts une boule qui m’empêche de dîner ce qui est en soi pas mal car souvent les clients offrent à manger.
À l’heure prévue je vois arriver une voiture fenêtres entièrement impénétrable
Le chauffeur descend, m’ouvre la porte arrière et nous démarrons.
Nous entrons dans Paris par la porte de Vincennes et je vois que nous nous engageons dans le parking d’une maison près de l’opéra.

• Prenez l’ascenseur 8ème étages vous sonnez à la seule porte devant vous, on vous attend.
• Entrez,
• C’est une femme bien mise, un peu coincée, cheveux coiffés avec un chignon et lunette noire d’intellectuelle qui me reçoit et me fait entrer dans un bureau ou une femme travail à sa table.
• Deux minutes, je finis cette lettre, Jennifer, vous pourrez partir mais déposez cette lettre au planton d’où vous savez et vous pouvez rentrer chez vous je reste seule ce soir avec mon amie.


Mon amie, comme elle y va, j’ai bien vu cette dame de nombreuses fois à la télé vue sa position sociale mais j’ignorais que nous étions amies.
La dame signe sa lettre et la sèche avec un tampon-buvard posé devant elle.
Il y a des lustres qu’écrire au stylo-plume et sécher l’encre au buvard est dépassé mais j’aime d’entrer cette femme qui a gagné de vieille coutume.

• Tenez, bonne soirée, demain je serais à mon bureau vers 11 ou 12 heures, faite vite pour la lettre.
• Oui madame, à demain.

Elle me regarde.

• Passez une bonne soirée.

Elle quitte la pièce et la dame se lève pour me rejoindre après avoir ouvert un tiroir d’où elle sort une enveloppe.

• Vous m’avez reconnu, voilà pour vous et si vous respectez votre contrat surtout de discrétion il y en aura d’autres.

Elle me tend mon enveloppe, je sens qu’il faut que je m’affirme devant elle aussi j’ouvre l’enveloppe et je recompte les billets.

• Le compte y est, que souhaitez-vous que je fasse, je me déshabille…

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